Chronique #2 : Quelque part avant l'enfer
Aujourd’hui,
je vous retrouve dans une nouvelle chronique. Elle sera sur Quelque
part avant l’enfer de Niko
Tackian. Je l’ai acheté cet été, bien après Toxique
et, la vérité, c’est que je l’ai acheté parce que j’étais
sûr d’adorer le premier acheté.
Je vous avouerais qu’il était plus long et aussi prenant, même
si, parfois, je trouvais l’histoire un peu longue. Voire grosse.
Mais alors la fin ! Qu’en dire ? Je ne m’y attendais pas du tout.
C’était une surprise. Et une sacrée, d’ailleurs !
Je vous fait un topo ? Anna, le personnage principal, à un accident
de voiture et fait une expérience de mort imminente (EMI). Dans
celle-ci, un homme menace de la tuer. Nous suivons donc la jeune
femme qui passe sa vie dans l’angoisse de voir l’homme apparaître
dans sa vie. Et je ne vais pas vous dire ce qu’il se passe, sinon,
je vais vous spoiler. Mais la fin est détonante.
L’histoire
m’a moins accroché que celle de Toxique, mais
ça n’en ai pas moins une bonne histoire, à mon avis. Si j’avais
su, j’aurais lu celui-ci avant de lire Toxique.
Peut-être aurais-je plus accroché, qui sait ?
Il
y a bien un point qui m’a chamboulé : les trop nombreuses
similitudes entre les deux livres que j’ai lu de cet auteur. Le
36 quai des Orfèvres, le
flic de la crim motard et adepte des sports de combats
et le fait que Tomar et Zed soient tous les deux des
flics « incontrôlables » qui ont eu des séparations douloureuses
avec leur ex, à cause du travail et de leur instabilité.
Sinon, les chapitres sont aussi courts que dans l’autre bouquin
que j’ai lu, ce qui fait que c’est agréable à lire pour ceux
qui détestent abandonner un chapitre en plein milieu. L’histoire
se suit et, à la fin, tout s’explique. D’accord, quand j’ai
découvert l’identité du meurtrier, je ne comprenais pas comment
cela pouvait être possible. Mais, finalement, quelques pages plus
tard, tout nous est expliqué par l’auteur, au travers du personne
de Philippe Roody.
Ce livre n’est pas un coups de cœur, mais ce n’est pas un
mauvais livre pour autant. Je l'ai bien aimé, malgré le temps que je l'ai mis. Le seul point "faible", si je puis dire, ce sont les similitudes qu'il y a entre les deux livres. Ca m'a quelque peu perturbée.
La chronique prend fin dès à présent. J'ai dans l'idée qu'il faut que j'achète les autres libres de Niko Tackian au plus vite afin de pouvoir découvrir un peu plus de la plume de cet auteur. La prochaine chronique sera peut-être un peu plus longue à paraître que celle-ci - par rapport à la précédente, j'entends. Je vous laisse aller vaquer à vos occupations et je vous dis à bientôt pour un nouvel article.
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